Investir sur un temps long, ce n’est pas une mode. C’est une nécessité stratégique.
Dans un monde instable, marqué par l’inflation, la création monétaire excessive et l’imprévisibilité des marchés, le court terme génère bien souvent stress, illusions et pertes.
Le long terme, à l’inverse, permet de :
Construire une richesse réelle,
Lisser les risques,
Laisser aux actifs le temps de mûrir,
Et surtout, transformer son rapport à l’argent.
Ce qui fait la différence, ce n’est pas le bon timing, mais la durée de détention. En investissement, mieux vaut faire 1000 pas qu’un grand saut. Cette philosophie vaut aussi bien pour les actions cotées, le Private Equity, les infrastructures ou encore Bitcoin.
Les actions cotées sont par nature volatiles. Mais cette volatilité n’est pas un défaut. C’est le prix à payer pour capter une croissance réelle, issue des entreprises, les seuls agents économiques rationnels.
Prenons le CAC 40 :
En 2022, il a touché un plus haut à 7 300 points, un plus bas à 5 700, pour finir à 6 500.
Ces mouvements sont fréquents. Pourtant, la tendance sur le long terme est haussière, comme le montre l’évolution historique des marchés.
Rester investi est donc essentiel. Une étude de Fidelity montre qu’en ratant les 20 meilleurs jours de bourse sur 20 ans, la performance annualisée passe de 7,26 % à 4,36 %, puis à 1,85 % si l’on manque les 30 jours .
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Dans le Private Equity, on investit dans des entreprises non cotées avec un horizon de 5 à 10 ans. Pourquoi ce délai ? Parce que transformer une entreprise, ce n’est ni rapide, ni instantané.
Structurer une équipe, repenser une gouvernance, conquérir de nouveaux marchés, développer un nouveau produit… Toutes ces étapes sont longues, complexes et parfois émotionnellement exigeantes pour les dirigeants.
Même avec des fonds de Private Equity aguerris et de bons conseils, le management doit d’abord comprendre, puis s’approprier la vision. Cela demande du dialogue, de la confiance et du temps.
Le temps long permet de créer de la valeur profonde, pas seulement financière, mais aussi humaine et stratégique.
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Les infrastructures (transport, énergie, eau, communication…) sont par essence des actifs de très long terme. Elles répondent à des besoins fondamentaux et s’inscrivent dans des cycles de 15 à 30 ans.
Les fonds “infra” investissent sur cette durée pour capter :
Des flux de revenus stables et prévisibles,
Une protection contre l’inflation,
Et une résilience exceptionnelle face aux crises.
Investir dans les infrastructures, c’est choisir la stabilité plutôt que la vitesse. C’est une forme de patience stratégique, alignée sur les besoins réels de la société.
Dans un monde d’argent infini, ce qui est fini devient inestimable.
Bitcoin est un actif fini, avec une offre maximale de 21 millions d’unités. C’est aussi un actif non permissionné, résilient et accessible sans intermédiaire.
Mais la vérification de la thèse d’investissement Bitcoin, à savoir qu’il deviendra l’un des principaux étalons de valeur en quantité fini, ne se fera pas en quelques mois. Cela prendra des années, voire des décennies.
Bitcoin partage ainsi un point commun avec les meilleurs actifs : il récompense la patience.
Comme un immeuble haussmannien à Paris, sa rareté est irréductible. Ce qui en fait un outil de souveraineté, autant qu’un investissement stratégique.
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À l’ère des réseaux sociaux, du court-termisme, du “je veux devenir riche maintenant”, il est urgent de réhabiliter une vertu oubliée : la patience.
Créer de la valeur, c’est :
Rester investi malgré la volatilité,
Laisser les entreprises se transformer,
Attendre que les projets prennent forme,
Croire en la puissance du temps long.
Les solutions liquides, garanties, faciles ? Elles rassurent sur le moment, mais ne créent pas de richesse durable.
Donner du temps à vos investissements, c’est vous offrir plus de sérénité, de stabilité et de liberté.
N’hésitez pas à nous contacter si besoin d’informations complémentaires.
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